Il nous faut constater que cet état d’esprit, cette puissance maléfique même, a envahi notre société moderne. Pas étonnant puisque le diable a été le premier rebelle dans l’univers bien avant que le monde soit monde. Le principe de l’autorité est bafoué partout, les mots « discipline » et « soumission » donnent des boutons. Les parents n’ont plus rien à dire à leurs enfants, les enseignants sont au bord de la dépression, les forces de l’ordre sont provoquées ouvertement, les membres des gouvernements sont tournés en ridicule… Notre pauvre planète est au bord du chaos !
Malheureusement, cette « mentalité » a envahi l’Église de Jésus-Christ. Bien des enfants de Dieu, malgré leur nouvelle naissance, sont retournés à cette ancienne façon d’agir. Peut-être pas toujours d’une manière ouverte, mais dans le cœur « l’orage » gronde.
La rébellion amène la violence, la violence a pris parfois sa source dans de la souffrance mais aujourd’hui celle-ci sert souvent d’un faux prétexte. Le résultat d’un abus de pouvoir et des blessures qui en ont découlé a poussé la première génération à des changements, mais les générations suivantes ne se sont laissées imprégner que de la révolte. C’est pour cette raison que ce phénomène s’ancre peut-être encore plus profondément chez la gent féminine.
Pourtant, notre verset du jour démontre que cet état d’esprit provoque la colère de Dieu. Nous pouvons avancer toutes les excuses possibles, c’est un fait la rébellion déplaît à notre Dieu parce que celle-ci est une des caractéristiques du péché, avec le doute et l’orgueil !
La solution n’est pas dans la colère, l’amertume, la rancune, la violence… mais dans l’abandon à Dieu. En tant que fils et filles du Dieu trois fois Saint, nous ne devrions pas accepter cette forme d’esclavage. Christ nous a appelé à la liberté, pas à l’indépendance. Toute la Parole de Dieu démontre cette interdépendance qui doit se trouver dans le corps de Christ.
Soyons connectés les uns aux autres, acceptons les rôles et responsabilités différents. Travaillons à l’unité et à la soumission mutuelle, de peur de tomber entre les mains d’un Dieu qui jalouse l’Esprit qu’Il a mis en nous, un Esprit de douceur qui veut nous apprendre la sagesse. Voici ce qu’en dit Jacques : « La sagesse d’en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d’hypocrisie » (Jacques 3.17).
Bonne réflexion.
Pasteur Claudy – Centre Apostolique EZ37M – Copyright 26 septembre 2020 © ez37m.com
Ce vrais sérieux cette réalité et que le Saint-Esprit nous donne la sage et force pour remédier à sa.
Afin que la processus de l’édification de l’église de l’avancement du royaume de Dieu ne ralentie pas.